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 Mission spéciale : Le repos éternel.

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MessageSujet: Mission spéciale : Le repos éternel.   Mission spéciale : Le repos éternel. EmptyLun 2 Mai - 18:39

Ordre de mission

Le repos éternel - Terrain de jeux (Snowdin) | Un mage a découvert que l'esprit de ce terrain de jeux était un mort qui ne sait pas comment partir. Il effraie les enfants le soir, sans le vouloir. Ainsi il vous ai demandé de communiquer avec lui et de l'aider à s'en aller et trouver le repos.
Récompenses | 5 Golds, -30 EXP

Avoir joué avec les enfants dans la forêt t'avait autant fatiguée que divertie. Vous n'aviez pas fait grande chose et, pourtant, ces gosses et leurs parents furent on ne peut plus satisfaits. Pendant le dîner, les petites bouboules de gélatine dirent à leurs parents ô combien ils s'étaient amusés. Ils détaillèrent avec enthousiasme tout ce que vous aviez fait, ce que les autres petits monstres avaient fait.

Le sourire aux lèvres, tu montas à ta chambre après avoir aidé à débarrasser la table et te laissas tomber sur le lit, poussant un long soupir d'aise. Tu n'avais pas vraiment sommeil, tu ne voulais pas non plus t'endormir par crainte de laisser tes cauchemars gâcher les souvenirs une aussi bonne journée. Cependant, tu fermas les yeux et restas dans une quasi obscurité – tu te reposais dans ce simili-silence. La voix des enfants te parvenait parfois, telles que de murmures, accompagnée par celle de leurs parents. Gardant les paupières closes et faisant le moins de mouvements possibles, tu tendis une main pour prendre ton oreiller et l'approcher de ton visage. Mais… quand tu comptais allas enfouir ton petit minois contre ce doux et agréable ustensile, quelque chose de froid et d'âpre toucha ta joue. Cette texture ne t'était point inconnue puisque c'était celle du papier.


Papier…
Tu ouvris les yeux et glissas ta main sur l'oreiller pour récupérer l'enveloppe qui t'avait été adressée : c'était une lettre du Conseil des Mages, tu reconnaissais le cachet et le sentiment que ce bout de papier t'inspirait sans même l'avoir lu. Ton sourire faiblit mais ne s'effaça point – ils avaient le don de te surprendre ou, plutôt, de te prendre au dépourvu. Délicatement, tu ouvris l'enveloppe et sortis la lettre – la lisant aussitôt, attentivement. Dans cette dernière te demandait d'aller au Terrain de jeux de Snowdin, tout en faisant preuve d'une certaine discrétion, parce qu'une âme errante le hantait et effrayait les enfants. Tu avais ressenti quelque chose en allant à la forêt, aujourd'hui. Quelqu'un vous observait sans se montrer et, pourtant, ce n'était pas une présence hostile mais curieuse et désolée. Cela devait être ledit esprit.

Faisant la moue, tu  mis la lettre dans une petite boîte métallique – que tu rangeais dans le tiroir de ta table de chevet – et te levas du lit avec une certaine nonchalance. Tu ne pouvais pas laisser ce pauvre être errer davantage, il fallait que tu l'aides maintenant – même si on ne t'exigeait pas que tu passes directement à l'action. C'était une question de principes. Doucement, tu massas ton cou, réajustas ta tenue et pris de quoi être au chaud : un long manteau-cape bleu roi avec une capuche dont les bords étaient ornés d'une fausse fourrure blanche, un foulard blanc et des gants de la même couleur. Tu t'excusas auprès du couple qui t'hébergeait et leur dis que tu avais quelque chose à faire dehors, que tu allais rentrer tard et qu'il ne fallait pas qu'ils s'inquiètent à ton sujet.

Ce fut avec un grand sourire aux lèvres que tu quittas cette petite demeure. D'un pas léger, tu traversas le village puis les plaines ainsi que le pont flottant en direction de la Forêt Enneigée – où se trouvait le Terrain de jeux. Sur le chemin, tu rencontras Jerry et un jeune Ice Cap qui t'interpella pour te montrer son nouveau chapeau de glace – que tu complimentas sincèrement avant le pat-pater, le faisant rougir. T’arrêter à parler avec eux ne te gênait pas du tout, même si Jerry était un type assez lourd et râleur – tu le supportais, tu l'écoutais mais, il fallait l'avouer : tu n'étais pas vraiment pressée mais dès que tu as eu l'occasion de t'échapper, tu l'as fait – t'excusant auprès des deux monstres avant de reprendre ton chemin.

Le froid de Snowdin te mordait les joues mais, par chance, le vent ne soufflait pas très fort, ce qui réduisait agréablement la sensation thermique. Tu ne fis qu'une courte pause pour reprendre le souffle, lorsque tu fus à orée des bois. Tu exhalais une épaisse bouée blanche à chaque fois que tu tentais de respirer hors de ton foulard, balayant les lieux du regard – tu y étais presque. Frottant tes mains afin de les réchauffer un peu, tu pénétras dans la forêt et te rendis aussitôt au lieu dit hanté.


La même présence qui attira brièvement ton attention durant la fin de la journée, pendant que tu surveillais les enfants du village. Tes prunelles changeantes se posèrent sur une silhouette androgyne qui fixait la neige et qui détaillait les sculptures que vous aviez fait quelques heures auparavant. C'était une belle âme, pure, innocente et claire mais… qui abritait une profonde tristesse – tu t'y identifiais, tu compatissais sans même connaître son historie. C'étaient des émotions que tu ne connaissais que trop bien pour les ignorer : cet esprit n'était pas seulement perdu, il cherchait quelque chose ou, peut-être, quelqu'un.

L'esprit faisait plus ou moins ta taille et tu aurais pu le confondre avec un humain quelconque si ses pieds ne flottaient légèrement au dessus de la neige. L'analysant silencieusement, tu compris qu'il s'agissait d'une jeune femme aux cheveux courts, une rousse. Plus tu le détaillais, plus tu ressentais sa détresse… Elle se sentait tellement seule… Elle ne voulait pas effrayer les enfants, elle voulait juste parler à quelqu'un.

Tu es revenue... lança-t-elle, sans même se tourner vers toi. Tu esquissas un petit sourire avant de t'en approcher, te plaçant à ses côtés – comme tu l'aurais fait avec n'importe qui d'autre. Tu ne fuis pas, comme les autres ?

Devrais-je ? lui retournas-tu, regardant les sculptures de neige. Ils se sont beaucoup amusés, aujourd'hui. Je sais que tu nous regardais, tantôt. continuas-tu, tournant la tête vers l'âme errante. Après avoir marqué une courte pause, tu as poursuivi : Je ne pense pas qu'ils aient eu peur de toi, à cet instant-là. Tu aurais pu t'approcher et jouer avec nous. Je suis sure que ça t'aurait changé un peu cet état d'âme.

La jeune femme rit légèrement à l'entente de ce jeu de mots. Elle posa enfin son regard sur toi, esquissant un mince sourire – elle était timide, tu le ressentais et, pourtant, tu semblais la mettre à l'aise.

C'était un piètre choix de mots, j'en ai conscience.
C'était drôle, malgré tout. Des mots ironiquement bien choisis.

Le silence s'installa à nouveau parmi vous.


Elle te regarda, hésitante : elle n'osait pas se confier.

Dis… Qu'est-ce qui te rend aussi malheureuse ? lui demandas-tu, d'une voix douce. Cela fait longtemps que tu es prisonnière de cette forêt ?

Pas tellement. J'habitais à Snowdin jusqu'à il y a deux ans mais… disons que j'ai été assez stupide pour croire une personne au lieu d'une autre qui ne voulait que mon bien, depuis le début.
Problèmes familiaux ?
Presque, entre amis. On était comme de frères mais… je suis tombée amoureuse d'un de mes amis – qui était assez collant et qui semblait très sympa. Il y avait eu une embrouille, quelque temps avant qu'on vienne dans la forêt, lui et moi… Mon autre ami était un peu plus sérieux et m'avait dit que c'était une mauvaise personne, que je ne devais pas rester seule avec lui et qu'il pourrait me faire du mal. t'expliqua-t-elle rapidement, marquant une pause dans son discours avant de baisser le regard. Je ne l'ai pas cru et j'ai préféré écouter mon cœur. Je me suis sentie trahie… Je sais que l'autre ordure est allé vivre hors de l'underground mais… Momo est resté à Snowdin. Je voulais juste demander aux enfants s'ils le connaissaient et s'ils pouvaient lui dire quelque chose de ma part… Il est venu une fois, il y a un peu plus de deux mois, pour laisser des fleurs à orée des bois mais il n'ose pas venir jusqu'ici… puisque c'est ici que je suis morte. continua-t-elle, plaçant ses mains sur son visage.

Elle regrettait tellement son choix, elle ne pouvait pas quitter cet endroit puisqu'elle y était liée. Qu'avait-elle pu vivre, dans ses derniers instants ? Qu'avait-il pu lui faire, ce type qui disait être son ami et en qui elle avait tant confiance ? Ce type qu'elle aimait, autrefois ? Elle t'expliqua que son corps était toujours ici, quelque part dans la forêt – elle pouvait même te dire où est-ce que ses restes étaient cachés.

Mais les minutes s'écoulèrent rapidement...
Après qu'elle t'ait avoué, avec une honte non dissimulée, ce qui lui était arrivé, tu compris qu'il fallait que tu trouves ce qu'elle avait perdu ici, avant qu'on ne déplace son corps, que tu préviennes quelqu'un de sa présence et que tu passes un message,  également, pour qu'elle puisse se reposer en paix. Ces dernières tâches la retenaient ici, dans son tombeau végétal, la faisaient se morfondre un peu plus à chaque jour qui s'écoulait.

Qu'est-ce que tu as perdu, exactement ?
Une bague que Momo m'avait offert pour mon dernier anniversaire. Kano l'avait jetée par ici, elle était attachée à une chaîne en argent mais… avec toute cette neige et vu le temps que ça fait… c'est comme si on cherchait une aiguille dans une meule de foin… C'est impossible ! Et, même si je venais à la trouver, qu'est-ce que je pourrais en faire ? Je ne peux même pas prendre des choses matérielles, maintenant... couina-t-elle, laissant pendre ses bras le long de ses flancs.


Quelques larmes éthérées commencèrent à couler le long de ses joues, te donnant un pincement au cœur : elle avait l'air tellement lasse, tellement démotivée… Tellement désespérée. Tes iris se teignirent d'une couleur bleue glaciale, très claire et limpide – témoignant de la tristesse et la compassion que tu éprouvais envers cette personne. Une erreur de jeunesse lui avait coûté la vie. Et dire qu'elle devait avoir quelques années de moins que toi ! Pauvre adolescente, pauvre fille.

Je vais trouver ta bague, hm…
Cléa. Désolée, je ne pensais pas que mon prénom soit important… Je ne pense pas que tu puisses trouver ça, surtout maintenant, mais… si tu venais à le faire, je te serais redevable.
Ton prénom est important, pourtant. Toute chose a son importante, quoi que tu puisses croire. murmuras-tu, retirant un de tes gants avant de t'accroupir, laissant que ta longue chevelure se mêle et se confonde avec la neige. Je ne sais pas si ça marchera ou pas mais… j'aimerais que tu penses très fort à ce que tu as perdu et, après, que tu poses ta main sur la mienne. Si ça marche, on verra où est-ce qu'elle se trouve et si elle a été déplacée ou pas, depuis. fis-tu, posant ta main sur la neige.

L'esprit hésita et finit par s’agenouiller à tes côtés, faisant ce que tu lui avais dit de faire. Elle demeurait sceptique et ne comprenait pas où est-ce que tu voulais en venir. Elle ne posa pas de questions, te regardant lui sourire avant de t'adresser une mince esquisse. Quelque part, elle te faisait confiance puisqu'elle avait l'espoir qu'elle pourrait encore retrouver son bijou et s'excuser auprès de son ami Momo. Le contact de cette main éthérée sur ta peau fut tiède et contrastait avec la froideur de la poudreuse.

Tu fermas les yeux et te concentras…
Une série d'images et de sons te parvinrent, te montrant l'affreuse scène qui s'était déroulée il y a deux ans avant qu'un monstre reptilien ne traîne le corps de la rouquine dans une autre direction ; tu vis où est-ce qu'il jeta sa dépouille comme si ce n'était qu'un vieux sac et, même, l'endroit où il l'avait enterrée avant de prendre la fuite vers la surface. Pendant toute cette agitation, la chaîne d'argent s'était brisée et finit par glisser sur le côté de son buste – pour ensuite tomber à terre. L'objet en question était toujours ici, il n'avait pas été déplacé : il était jalousement protégé par la neige dans laquelle il s'était enfoncé, à l'époque.


Ta vue devint momentanément floue.
Prise de vertiges, tu brisas le lien spirituel et fis cesser les visions en éloignant ta main de celle de la défunte. Ce pouvoir te fatiguait, il t'épuisant, même. À chaque fois que tu en usais – ne serait-ce qu'involontairement –, tu devais faire en sorte que ça ne dure pas longtemps parce que tu avais l'impression d'étouffer, tu avais le souffle court.

Tu ne pouvais pas traîner, il fallait que tu trouves cette bague…
Pour ton bien et pour celui de cet esprit.

Dès que tu fus en mesure de te lever, tu te redressas et cherchas du regard l'emplacement où l'item devait se trouver. Tu t'éloignas plusieurs mètres des sculptures et creusas dans la neige, palpant et fouillant dans la poudreuse que tu retirais avant de continuer à chercher. Ce ne fut qu'une question de minutes avant de trouver l'objet de vos convoitises, tu le pris délicatement et le tendis à la rouquine en lui adressant un large sourire – tu étais fière de toi, de ta trouvaille.

De la joie et de l'espoir naquirent dans son esprit.
Elle était heureuse. Tellement heureuse.

Son enveloppe éthérée commença à perdre consistance avant qu'elle ne pousse un soupir de soulagement. Tu sentis que sa conscience s'était allégée et qu'elle n'allait pas tarder à disparaître – traversant ainsi de l'autre côté. Nonobstant, avant cela, la rousse te confia un message pour son ami : des excuses ainsi que quelques mots pleins de regrets et de tendresse. Par la même occasion, elle déposa un baiser sur la bague et te souffla quelque remerciement : si elle était capable de partir, la conscience tranquille, c'est qu'elle s'était trop inquiétée pour son ami et qu'elle avait pardonné l'autre vermine, malgré tout – Momo était le plus important pour elle.

C'était celui qui ne l'avait jamais abandonnée.
Quoi qu'il en ait été.

Quand tu ne sentis plus sa présence, tu quittas les lieux et rebroussas chemin en direction du village – remettant ton gant, par la même occasion. Tu plongeas tes mains dans tes poches, enfouissant ton nez contre ton foulard : les températures semblaient avoir chuté d'avantage…

* * * * * *

Quand tu étais arrivée à Snowdin, tu ne savais pas par où commencer : tu ne savais toujours pas qui était ce Momo à qui tu devais faire passer le message. Tu savais seulement qu'il s'agissait d'un monstre à la fourrure noire, qu'il était assez sérieux et qu'il n'était pas très grand. Tu demandas dans les boutiques ainsi que dans le Inn, les deux sœurs n'avaient aucune idée de qui il était. Elles voyaient beaucoup de monde passer pour pouvoir se souvenir de qui elles avaient vu ou pas. Tu demandas aux rares passants qui étaient encore dehors puis… tu allas te renseigner au Grillby's.

Pendant que tu questionnais les clients qui picolaient à une table non loi du comptoir, un autre client te regarda d'un air suspicieux. Ceux à qui tu parlais, te firent te tourner et pointèrent un mâle qui était installé dans une table qui faisait coin, à l'autre bout du bar, près des fenêtres. Il était toujours seul, apparemment, il buvait et se morfondait dans son coi depuis deux ans – il commandait toujours la même chose : c'était lui, ce Momo. Un monstre félin au poil long, il avait des yeux verts et ne semblait pas apprécier que tu parles de feu son amie Cléa – il se demandait ce que tu lui voulais et qui tu étais pour remettre cette histoire sur le tapis.

Malgré le fait qu'il se soit montré désagréable, tu t'es approchée et lui as adressé un tendre sourire avant de poser la bague et la chaîne d'argent sur la table, près de son verre. Ses yeux s'écarquillèrent, reconnaissant le bijou qu'il avait offert à son amie – sa colère et sa frustration se transformèrent en tristesse : il regrettait, lui aussi. Il regrettait de l'avoir laissée partir, de pas l'avoir suivie ou retenue. Il n'avait pas besoin de le dire pour que tu le comprennes.

Calmement, tu lui expliquas la situation et lui transmis le message de son amie, omettant les détails concernant son trépas. Également, tu trouvais légitime qu'il sache où se trouvait le corps, au cas où il souhaitait lui donner une signe sépulture selon les coutumes humaines. Il ne savait pas quoi dire ni que faire… Il baissa le regard et récupéra la bague, la serra au creux de sa main.

Alors que tu partais déjà, jugeant que ta mission était finie, le félin haussa le ton pour te remercier, t'adressant un semblant de sourire : il t'était reconnaissant car, même si tu avais rouvert des vieilles blessures qui peinaient à cicatriser, tu avais également réussi à les panser et les mener vers une guérison certaine.

* * * * * *

Une fois rentrée à la maison, un oiseau messager patientait, confortablement installé sur le bord de la fenêtre de ta chambre : ils savaient que tu allais faire ta mission directement. Ils savaient beaucoup plus de choses sur toi que tu ne le croyais… Un nouveau sourire étira tes lèvres en détaillant l'oiseau ; tu n'aimais pas les téléphones et tu t'entêtais à user d'un moyen quasi révolu de communication. N'importe qui t'aurait dit qu'il aurait été préférable que tu te plies au pouvoir et aux facilités de la technologie – tu t'y refusais, sans remord.  

Après avoir trouvé de quoi écrire, tu rédigeas un petit rapport à l'attention du Conseil – sans trop détailler la situation. Une fois ceci de fait, tu enroulas la lettre et la cachetas avant de l'attacher autour de la patte de l'oiseau. Tu lui donnas un petit biscuit fait maison en guise de récompense et de remerciement pour son aide. Ce fut peu après que tu lui aies prodigué une légère caresse, que le message s'envola et parti.

Ta mission était officiellement accomplie.
Maintenant, tu pouvais te reposer.
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