Sujet: Fear the fear, fear the feather [Mission, Solo] Ven 2 Déc - 22:03
Fear the fear, fear the feather
Fear the fear, fear the feather - 1 génocidaire LV8 | Terrain vaste (Snowdin) | Encore un jeu de mot idiot... Mais passons. Vous êtes-vous déjà fait attaquer par un oiseau ? Cela fait très mal, je vous l'assure. Mais passons. Il s'agit là d'un pacifique fan d'oiseau, et il faut le faire paniquer et détester les oiseaux. Faites ce que vous voulez, mais laissez-le en vie. Oh ! Il est en train de chasser les oiseaux avec sa meilleure amie. Je crois qu'il l'aime. Et il a un de ses amis avec lui. Faites ce que vous voulez avec eux mais le fan DOIT survivre. Récompenses | 0 Golds, 200 EXP.
Tu avais commencé à arrêter les missions, ou plutôt, à les espacer dans le temps. Tu avais d'autres projets et, ces mission représentaient de moins en moins la source de revenus que tu attendais. C'était plus un plaisir, un passe-temps, une envie, qui suivait ton instinct. Mais avec le temps, tu sentais qu'il te manquait quelque chose que tous les loups avaient : une meute. Mais que pouvait faire le loup alpha solitaire, sans meute, que tu étais ? Tu devrais en trouver une, un jour... Mais tu ne voulais pas n'importe laquelle. Enfin, ce n'était pas le sujet.
Ta mission semblait simple à première vue, et adaptée à ta personne. Tuer et faire paniquer, deux choses qui te tenaient encore à coeur. Alors, tu te dirigeas vers le point indiqué. Transformé en autruche, tu vis les trois individus. Tu t'approchas, tel une autruche des plus normales, et tu sursautas même en entendant le monstre pacifique hurler "REGARDEZ ! LA ! UNE AUTRUCHE !" Mais tu te contentas de relever la tête, intrigué. Alors, il parla de toi, l'autruche, de ce que tu faisais. Et, lorsque les deux autres furent à porter, en particulier la femme, humaine, tu attendis que le pacifique fit un geste déplacé, un peu effrayant, et tu attaquas la demoiselle, donnant des coups de pattes et de bec, la renversant, lui arrachant la peau, lacérant son corps de tes pattes griffues, la massacrant presque. Bien entendu, le sang se répandit au sol et atteignit le visage du pacifique. Tu vis l'autre fuir, tu te rua sur lui et fit de même, répandant toujours plus de sang. Ensuite, tu te tournas vers le pacifique, qui tremblait et, lorsque tu fis mine de l'attaquer, il détala en hurlant, pleurant et se lamentant sur le fait que c'était de sa faute et que les oiseaux étaient effrayants. Il était traumatisé, tu en étais sûr. Tu repartis donc, sous une forme d'autruche, toujours.